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Hilsener ! Ne sachant pas vraiment comment commencer, commençons par le pourquoi du comment ce lieu existe. Originellement, j'écris po...

samedi 30 juillet 2016

Funeste Musique - Références Externes et Debriefing

Hilsener !

Alors ça y est, Funeste Musique est présent dans son intégralité, et comme tout écrivain qui se respecte, j'ai eu diverses inspirations pour des évènements, personnages etc. Donc, s'il y en a que vous n'avez pas repérées, vous les trouverez ici, car je vous les propose, chapitre après chapitre. De plus, je vous explique succinctement certains passages.


Prologue + Chapitre 1 :

Dans le prologue, le personnage principal est désorienté, comme 150% des héros de ce genre d'histoire, et inconsciemment on sait déjà qui est coupable, mais on se rend compte que ce n'est pas forcément vrai, en référence aux films d'horreur trop clichés. On remarque aussi un plot-twist quand on connaît la fin.

Le chapitre 1 la fait sortir beaucoup plus explicitement, ce roman est assez inspiré de Sac D'Os de Stephen King.

Chapitre 2 :

Ici apparaît le personnage de Ross Thompson, qui est bien évidemment un personnage réel, et bel et bien membre du groupe Van Canto. Seulement, j'ai un peu exagéré leur célébrité (mais pour les connaisseurs, ils ont joué au Wacken), et je tiens à préciser que Ross est parfaitement au courant de l'histoire, et qu'il m'a donné son accord pour que son nom soit utilisé.

Autre référence, les introductions de chansons citées sont, par expérience, quelque chose d'apprécié par les auditeurs, car cela annonce bien souvent un morceau extrêmement épique (cf "Plagues of Babylon" de Iced Earth, et bien d'autres)

Chapitre 3 :

Les bras de Morphée, pour celles et ceux qui l'ignorent, représentent le sommeil. Cette métaphore a été utilisée (habilement, je l'espère), pour effectuer une transition des bras métaphoriques du sommeil aux bras charnels du monstre. Ce monstre est d'ailleurs une représentation extrêmement cliché de la goule de science-fiction.

Ici, j'ai parlé d'ordres en latin car le latin est une langue assez récurrente dans la sorcellerie, donc en sachant qu'une goule est souvent confondue avec un zombi, lui-même issu de rites vaudous, eux-mêmes souvent confondus avec la sorcellerie, cela me semblait logique dès le départ.

Chapitre 4 :

Le héros se fait qualifier de fainéant car il dort encore après 11h, ceci est du vécu, du vécu quasi-quotidien. On apprend qu'il se nomme Mr Krento, ce nom n'a pas forcément d'origine étymologique, c'est juste que je possède plusieurs pseudonymes selon l'activité (Porteur de Peste pour la musique, Kalthoreil pour les jeux), et Mr Krento est un nom qui me semblait intéressant pour de la littérature, quoiqu'un peu prétentieux de se nommer soi-même Mr (mais ce n'est pas pire que se nommer soi-même maître).

Ici, Æmilia Scubuce possède deux références en une. Scubuce, comme précisé, est un anagramme de Succube, une créature fantastique souvent représenté comme une femme (même s'il en existe au masculin) usant beaucoup de la séduction. Et Æmilia est l'équivalent latin du prénom Émilie, qui est le prénom de mon ex, avec qui j'étais encore lors de l'écriture de ce passage. "Les Enfants du Surnaturel" ne m'a pas été inspiré par une référence, je trouvais juste que ce nom collait.

Encore une boutade aux films d'horreur clichés, le fait qu'une femme lui parle d'une goule, qu'il ait été emporté par ça et qu'il ait été sauvé par une femme aurait dû lui mettre la puce à l'oreille, mais ça n'était pas forcément le cas tout de suite.

Chapitre 5 :

Ici, double référence, à la fois aux labels tyranniques (tous ne le sont pas) qui veulent que leurs groupes sortent régulièrement de nouveaux albums, et ceci m'écœure un peu.
Ensuite, aucun album n'a été sorti pendant 9 ans, et le groupe Tool n'a pas sorti d'album depuis 10 ans.

Chapitre 6 :

Les craquements d'escalier...le cliché poussé à son paroxysme, encore une fois une référence aux films d'horreur, et Ô surprise, l'autre personnage qui comme par hasard trouve un passage, et personne ne se pose de questions. En tout cas, j'ai beaucoup ri en écrivant ce passage car je trouvais que c'était encore plus cliché que les Français avec le béret et la baguette de pain.

Chapitre 7 :

Là, dites-moi que quelqu'un a remarqué l'exagération. Parce que parcourir 7km en 2h, cela revient à aller à 3.5km/h, ce qui est une vitesse normale, quoiqu'un peu lente. Sauf que nous sommes dans des escaliers en colimaçon, dans le noir, donc croyez-moi que c'est impossible d'aller aussi vite. De plus, la température augmente d'environ 3°C tous les 100 m. Donc, en calculant, à 7km, notre héros serait déjà brûlé puisque la température serait de 210°C, au minimum.

Ah? Action? Un géant de 3m, le nez est cassé, cela reste assez normal, il doit avoir un bon direct. Et comme par hasard, il peut se cacher derrière des pierres, et il tombe dans un trou moelleux. Référence encore une fois aux films d'horreur clichés, où il y a toujours quelque chose pour se cacher. Puis elle apparaît, Mme Scubuce, et les révélations commencent. Il comprend l'anagramme, il comprend tout, mais elle le renvoie à la surface. Et puis encore des révélations, Ross est manipulé par une divinité maléfique.

Chapitre 8 :

Cette fois-ci, j'en avais marre des clichés, alors j'ai cassé les idées reçues, et non, Ross n'a aucun lien avec cette divinité, et notre héros ne commet pas les erreurs communes. Un peu de fantaisie, que diable !

Chapitre 9 :

Cette fois-ci, je vois la référence, mais je ne saurais plus vous dire d'où elle vient. Il s'agit d'un système de camouflage développé qui imite la transparence pour permettre de se cacher derrière. La goule effectue son retour, mais est détruite par le rire. Ce serait donc le moyen de les détruire? Et Ross qui redevient lui-même? Peut-être aura-t-on finalement un happy ending.

Chapitre 10 :

Haha, Ross qui fait de l'humour, le personnage étant drôle de base, on peut être en confiance.
La référence à Micromégas est d'autant plus flagrante si on a lu le-dit livre, puisqu'il n'est pas si long que ça, et les labyrinthes dignes de ce nom sont assez longs, ce qui montre les repères du personnage. Mais bon, cela doit être dû à la possession.

Et encore un personnage féminin, mais pas Mme Scubuce, puis un mur de ronces. Le mur de ronces aurait pu être une forêt impénétrable, mais étant en plein visionnage de la série "Ash VS Evil Dead", les ronces me semblaient attirantes (c'est une ronce qui fait entrer le diable dans la femme dans Evil Dead).

Chapitre 11 :

Voyez ça comme un clin d'oeil, le fait que même le héros ait l'impression de vivre les clichés. Retour dans les escaliers, avec une pression supplémentaire, un mur de flammes mouvantes, qui m'a été inspiré par un mélange de deux sorts dans le jeu Rogue Legacy : la barrière de feu et l'épée bouclier.

La fin s'en vient et s'en va aussi vite, puisque rien ne se passe.

Chapitre 12 :

La position du héros est (largement) inspirée par celle du héros au début du jeu d'horreur The Evil Within.

Nouvelles révélations, le rire ne blesse pas la goule.

Encore une fois, des reproches par rapport au manque de créativité, ce qui mène à la mort du personnage. Nous avons donc un bad ending.

Épilogue :

Ceci n'était donc qu'un rêve? Une conséquence du surmenage du héros? Cela semble bien se terminer alors. Mais que nenni, je vous rappelle que ce serait un cliché de le laisser en vie. Alors un petit sacrifice, et on n'en parle plus, FIN.

Ah non, Ertaveh se montre, mais pas vraiment. Alors on termine malgré tout sur un cliché. Notez bien que les sonorités utilisées pour le nom Ertaveh m'a été inspiré par les sonorités des monstres de H.P Lovecraft, écrivain de génie s'il en est.




Voici donc la fin de cet article, je vous remercie toutes et tous pour l'avoir lu jusqu'au bout, pour avoir lu le roman jusqu'au bout, cela me fait vraiment plaisir. Ce n'est pas le premier roman que j'écris, mais c'est le premier que j'achève, même si la passion pour ce roman a failli s'estomper maintes fois, je me suis efforcé de vous le présenter achevé, alors j'espère sincèrement que cela vous a plu. Je ne sais absolument pas si je vais faire une suite, car j'ai bien vu comment se déroulaient les séquelles de ce genre de roman, ce n'est pas forcément très intéressant, surtout vu le cadre de l'histoire, vous auriez surtout l'impression de lire encore et encore la même histoire, et ce malgré tous les efforts que je pourrais faire pour prouver le contraire. Malgré tout, malgré la fin de cette histoire, je ne compte pas m'arrêter d'écrire, et vous le verrez sur ce blog, entre les textes parfois autobiographiques, parfois non, et mon autre roman Sanglante Mélodie, et qui sait, peut-être que mon tout premier roman verra le jour, malgré la destruction (contre mon gré) de sa version physique.

Quoiqu'il en soit, je vous remercie encore toutes et tous énormément, et je vous souhaite une bonne journée.

Farvel !

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