On remet le couvert pour une nouvelle lecture impromptue, aujourd'hui en compagnie de ce monsieur :
Comment ça vous ne savez pas qui c'est? Comment ça ???
Très bien je me calme. Ici voici Richard Christian Matheson, fils de l'illustre Richard Matheson, scénariste et romancier.
Cités, père comme fils, par le Roi Stephen King, comme des noms des histoires du genre de la science-fiction, ici je vais vous évoquer l'ouvrage qui m'a fait entrer dans l'univers de Sir Matheson.
Accrochez-vous bien, et bienvenue chez la Némésis de l'utopie, la DYSTOPIE !!!
Tout d'abord, petit point de vocabulaire :
L'utopie, vous la connaissez, c'est un lieu imaginaire où tout est beau, tout est heureux, des petits oiseaux chantent et tout le monde il est beau, on peut citer (humoristiquement) la Théorie, car :
"En Théorie tout se passe bien"
Tandis que la dystopie est un lieu où personne ne peut atteindre le bonheur, voilà pourquoi je parlais de Némésis de l'utopie.
Mais trêve de palabres, commençons plutôt :
Ici, je vais vous parler de Dystopia premier du nom, car le deuxième tome est du même genre, mais surtout j'en avais déjà un avant-goût avec le premier tome.
Il s'agit d'un recueil de 30 nouvelles alternant entre la science-fiction, le fantastique et l'horreur "simple", psychologique ou plus dérangeante.
Pour celles et ceux qui se demandent à quel point c'est dérangeant, dites-vous que j'ai eu envie de vomir face à certaines nouvelles alors que je ris devant les vidéos du site BestShockers (n'allez pas sur ce site si vous êtes sensible, simple conseil).
Après, si vous avez un esprit légèrement tordu, certaines nouvelles peuvent vous faire penser à des personnes que vous connaissez, et donc vous pouvez les associer à ces nouvelles, pour le meilleur, mais bien souvent pour le pire.
Si vous êtes souvent rebutés par le fait que l'horreur mette souvent du temps à arriver dans un roman (ce qui n'est pas toujours mon cas), alors jetez-vous sur les deux tomes, car R.C. Matheson nous livre de l'horreur à la pelle, et cette horreur, sans nous créer des phobies comme Stephen King, peut largement nous effrayer plus que de raison.
Contrairement à un roman, je ne peux pas faire de résumé des nouvelles sans vous les gâcher, donc je vais plutôt vous laisser vous faire votre idée si vous le voulez, mais quoi qu'il en soit, n'oubliez pas d'y prendre du plaisir, c'est le plus important.
Quant à moi, je vous retrouve bientôt pour une nouvelle Lecture Impromptue !
Farvel !!!
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